2,5 milliards d’euros pour les TCL

Rendre les transports en commun existants plus performants et plus fiables. Développer les réseaux en créant de nouveaux services. Rendre les TCL plus accessibles pour toutes et tous. Améliorer l’existant et innover.

Pour un réseau TCL performant, écologique et solidaire, nous avons planifié 2,5 milliards d’euros en investissement entre 2020 et 2026, soit le double du mandat 2014-2020. La qualité d’un réseau de transports est aussi directement liée aux personnels et aux ressources financières annuelles, dites de fonctionnement. Au cours du mandat, la Métropole de Lyon passera d’une contribution annuelle de 150 M€ par an à 200 M€ par an en 2026 – ce que viendront compléter les communautés de communes alentours qui ont intégré l’établissement public SYTRAL Mobilités. En bref, pour atteindre notre objectif d’améliorer significativement les transports en commun, on met le paquet !

Le sujet des transports en commun, leur qualité et leur maillage, s’intègrent pleinement dans la stratégie globale de la transition des mobilités : offrir un bouquet d’alternatives à la voiture individuelle thermique. C’est aussi dans ce cadre que les questions d’intermodalité doivent être pensées entre modes de déplacement.

En préambule, il est important de noter que les évolutions concernant les transports en commun se placent pour la plupart sur un temps plus long que l’aménagement d’une rue des enfants ou d’une piste cyclable. En dehors même des grands projets, les améliorations nécessitent des investissements matériels, des recrutements et des études techniques complexes. Dans la suite, on verra une diversité d’améliorations sur des temporalités variées.

Finaliser le prolongement du métro B

SYTRAL.FR

Le prolongement du métro B aux Hôpitaux Sud à Saint-Genis-Laval a nécessité encore de nombreux investissements depuis 2020 et jusqu’à sa mise en service en Octobre 2023. En particulier, l’automatisation de la ligne B – un sujet complexe que tous les usagers auront pu observer – était un prérequis et directement sur le chemin critique du prolongement. Deux stations supplémentaires s’ajoutent à la ligne B ; l’automatisation permet une fréquence plus élevée (2 min en heure de pointe) et donc d’emporter plus de voyageurs ; le confort des nouvelles rames permet de garantir un parcours usagers plus agréable.

L’arrivée du métro B aux Hôpitaux Sud est une excellente nouvelle en soi, mais c’est avant tout une opportunité pour nous. Nous savons que de nombreux travailleurs du cœur de la Métropole habitent le cadran sud/sud-ouest de Lyon. L’objectif est donc de venir profiter de l’arrivée du métro plus au sud pour significativement améliorer la desserte en bus, en correspondance avec le terminus, pour l’ensemble de ce territoire. C’est ce qu’on appelle la « réorganisation du réseau de surface » et la commande politique était une nette amélioration de l’offre TCL et Car du Rhône pour offrir des solutions à cette partie importante du territoire lyonnais. Le résultat est un renfort d’offre significatif chiffré à +3M€/an, une fiabilisation des temps de parcours et l’organisation de nouvelles lignes de bus structurantes en lien avec le terminus métro.

En bref, un prolongement du métro B couplé à un choc d’offre bus dans le sud-ouest lyonnais !

Créer de nouvelles lignes

Plan de mandat 2020-2026

On l’observe au quotidien, notre réseau TCL fait partie des plus qualitatifs du pays, mais la demande d’avoir des nouvelles lignes fortes est récurrente. Il est certain qu’avec un plan de mandat aussi ambitieux, on peut créer de nombreuses nouvelles lignes pour mieux desservir les territoires.

Ce qui était important pour nous en construisant le plan de mandat était notamment concernant les nouveaux tramways de sortir de la logique en étoile et d’entamer un concept de toile, où des communes périphériques sont reliées entre elles, sans passer par Lyon. Aussi, il était important pour nous de relier, avec une infrastructure lourde comme un tramway, des quartiers populaires, des quartiers prioritaires de politique de la ville, souvent oubliés.

Nous portons ainsi 3 projets de tramways et une première ligne de bus à haut niveau de service (BHNS) en un mandat.

  • L’extension de T6 jusqu’au campus de la Doua à travers le centre de Villeurbanne
  • Le projet T9 de Charpennes à La Soie en passant par la Doua et le centre de Vaulx
  • Le projet T10 reliant la Halle Tony Garnier à la gare de Vénissieux en passant par le centre-ville de Saint-Fons
  • Un bus à haut niveau de service (BHNS), ou « tramway sur pneu », entre Part-Dieu et Sept-Chemins avec un parcours sur l’avenue Felix Faure et la route de Genas en connexion avec le métro D et les tramways T3, T4 et T6

En plus de ces lignes fortes, nous créons de nouvelles lignes de bus, notamment des lignes majeures avec une offre de service élevée.

On peut citer la ligne de l’est lyonnais (LEL) qui sera en connexion avec le BHNS et reliera la commune de Genas à La Soie de manière régulière. Elle ira aussi en service partiel jusqu’à l’aéroport Saint-Exupéry. Ce lien des communes de Genas et de Chassieu vers les lignes fortes de métro A, tramways et BHNS nous semblait être essentiel pour mieux desservir l’est lyonnais.

On peut également citer deux nouvelles lignes de bus express, 10E et 15E, lancés en 2021 sur la M6 et M7. Les bus express ont l’avantage d’avoir moins d’arrêts et ainsi de connecter de manière plus rapide le terminus en périphérie au centre de Lyon.

D’autres lignes de bus sont créées au fil des besoins projetés ou exprimées. Parfois ce sont des lignes de desserte de quartiers, parfois des lignes fortes, comme la nouvelle ligne forte C23 qui verra le jour sur la rive droite du Rhône en connexion avec Hôtel de Ville/Cordeliers et en direction de la Part-Dieu et Villeurbanne. Cette ligne forte permettra de compléter l’offre significative des deux lignes les plus fréquentées du réseau TCL, C3 et C13.

Enfin, nous avons décidé d’engager SYTRAL Mobilités dans le fluvial ! Une première expérimentation de navette fluviale, intégrée au réseau TCL, sera lancée en 2025 entre Vaise et Confluence. L’idée ici est d’investir dans un matériel et une offre de service digne de transports en commun pour évaluer l’intérêt des lyonnaises et lyonnais pour cette solution fluviale.

Créer une tarification plus juste et solidaire

De base, prendre les transports en commun est un gain de pouvoir d’achat important pour les usagers en comparatif avec la voiture individuelle. Pour cela, il faut bien-sûr qu’il y ait une alternative efficace en TCL, d’où notre effort sans relâche pour développer de manière inédite l’offre.

Mais l’offre, ce n’est pas tout ! Certains publics particuliers voient un frein à leur mobilité à cause des tarifs, ce qui engendre une « précarité mobilité ». Souvent, cette dernière est généralisée: l’usage d’une voiture est onéreux, le vélo non pertinent ou non maitrisé, l’usage régulier des TCL trop cher.

Nous avons dès le début du mandat engagé une refonte importante des tarifications avec un objectif : rendre les TCL plus accessibles pour les publics au plus faible pouvoir d’achat. Nous avons donc modifier la tarification solidaire pour créer un tarif solidaire réduit à 10€ par mois et un tarif solidaire gratuit à 0€, selon les situations. En complément, l’abonnement étudiant – public en grande précarité, qui plus est depuis 2020 – est passé de 32€ à 25€ par mois.

SYTRAL

Enfin, à destination d’un public « famille avec enfants », nous avons instauré la gratuité pour les sorties scolaires et complètement revu le ticket famille pour en faire un ticket simple d’usage à 6,50€ pour une journée entière, pour un groupe de 2 à 5 personnes, dont un enfant minimum. Sans livret de famille. Sans passage en agence. Sans jours particuliers.

En matière de tarification, c’est aussi la mise en place d’une toute nouvelle billettique avec des cartes rechargeables et surtout l’open-paiement, le paiement direct par carte bancaire, qui facilite les parcours usagers au sein du réseau TCL. Et afin de faire découvrir les transports collectifs à un plus large public, la Métropole de Lyon met en place dès 2024 deux box mobilités dans le cadre de la ZFE : la box « Je découvre » qui permet de tester un ensemble de services de mobilités pendant trois mois ; la box « Je m’engage » qui permet d’avoir un abonnement TCL d’un an contre la mise au rebus d’un ancien véhicule.

Améliorer l’existant

Tout comme pour l’amélioration de la marche, et bien d’autres domaines, l’action principale réside dans l’amélioration de l’existant. Qui plus est à Lyon en matière de TCL, alors que nous avons un réseau extrêmement bien maillé entre métro, tramway, bus, car, funiculaire, etc. Le maillage est bon, mais le service peut être encore amélioré, par exemple en matière de fréquence, de confort ou d’amplitude horaire. Ce sont parfois des investissements, souvent surtout des efforts financiers annuels en matière de conducteurs, d’agents d’entretien et de sécurité.

Une amélioration significative concerne les tramways. Outre des adaptations des horaires et fréquences au fil de l’eau, les tramways T1 et T2 bénéficient d’évolutions notables. Ces deux lignes sont régulièrement saturées avec près de 100 000 voyages par jour. Il est donc prévu d’augmenter leur capacité de +30% en allongeant les rames (et les quais), en 2025 pour T2 et en 2026 pour T1. Aussi, T2 a été prolongé jusqu’à l’Hôtel de Région Montrochet en 2021, assurant une meilleure desserte du quartier Confluence en pleine mutation.

Un autre projet majeur est l’amélioration significative de la performance bus sur un ensemble de 10 corridors bus sur la Métropole. L’idée est simple, l’investissement financier limité : créer des couloirs bus continus, faire de petits aménagements de voirie et installer les priorités aux feux pour les bus. Avec ce système, les lignes gagneront surtout en fiabilité, mais elles gagneront aussi plusieurs minutes par sens pour réduire leur temps de parcours.

D’une manière générale, nous poursuivons une démarche engagée à Lyon pour maximiser les couloirs bus qui offrent des parcours plus sereins pour les milliers d’usagers des bus et cars du territoire. En 2023, sur Lyon intra-muros, il y avait +37% de couloir bus. Cette dynamique est à l’œuvre sur l’ensemble de la Métropole!

Mais il ne s’agit pas seulement d’améliorer le réseau TCL. SYTRAL Mobilités gère également les réseaux Cars du Rhône et Libellule. Nous avons déjà évoqué le premier choc d’offre dans le sud-ouest lyonnais pour accompagner le prolongement du métro B. Ce choc d’offre va continuer en 2024 et au-delà sur l’ensemble des réseaux pour améliorer les services rendus. C’est une démarche engagée également année après année lors des « commissions d’adaptation de l’offre » pour les bus du réseau TCL. Une heure de fin plus tardive le soir, une heure de point élargie, une fréquence augmentée : de petits changements, moins visibles, mais utiles au quotidien !

Enfin, l’amélioration continue de l’existant passe aussi par un renouvellement de la flotte. D’abord, parce que la flotte actuelle roule largement au diesel et qu’elle doit aussi, malgré son usage intense et collectif, réduisant son empreinte carbone, contribuer à la transition énergétique. Ensuite, car de nouveaux bus offrent également plus de confort et de capacité. Entre 2020 et 2026, le plan de mandat bus permettra de renouveler près de 40% de la flotte avec l’acquisition de trolleybus, bus électriques, bus au bioGNV, etc. En particulier, le matériel IMC (in-motion charging) ci-dessus, mis en place progressivement sur les lignes fortes du réseau, permettra aussi d’augmenter de +30% la capacité d’emport.

En parallèle, SYTRAL investit naturellement pour créer de nouveaux dépôts bus ou tramway, ou mettre aux normes les dépôts actuels pour accueillir ces nouveaux matériels roulants.

Assurer la sécurité dans les transports

Les agents de sécurité TCL, la police nationale, les polices municipales, toutes interviennent sur le réseau TCL pour garantir la sécurité de l’ensemble des usagers. Le plan sécurité prévoit également des actions de sensibilisation à destination des usagers, notamment des scolaires pour identifier et éviter les problèmes d’insécurité en transport ou en station.

Un effort particulier est engagé pour la sécurité des femmes. Cela a déjà été entamé par le passé avec des actions concrètes comme les descentes à la demande sur les lignes de bus à partir de 22h. A cela s’ajoutent des campagnes de sensibilisation et communication contre le harcèlement et les violences sexistes et sexuelles, ou encore des marches exploratoires avec des usagers qui permettent d’identifier des adaptations concrètes pour améliorer la situation.

D’une manière générale, SYTRAL investit dans la sécurité via la vidéo-surveillance des rames et bus, les caméras piétons des agents de sécurité ou encore les alarmes en station.

Penser l’intermodalité

Les choix de chacun en matière de mobilités ne sont pas un ensemble uniforme lié à un mode de déplacement. Tout simplement parce que nous effectuons des trajets de nature très différente. Y compris les fameux trajets domicile-travail ne sont pas si réguliers que cela : entre télétravail, apéro-diner chez des amis, sortie culturelle et activité sportive, peu nombreux sont celles et ceux qui effectuent le même trajet, de la même manière, aux mêmes heures, 5 ou 6 fois par semaine.

Tout le sens du développement d’un bouquet d’alternatives à la voiture est aussi d’avoir une certaine fluidité dans la mobilité de chacun. Une fluidité qui permet de choisir entre tel ou tel autre mode, en fonction de la météo, des contraintes et des envies. Par ailleurs, tout comme des correspondances TCL sont nécessaires pour aller de Charpennes à Confluence, de nombreux trajets peuvent nécessiter une « correspondance » entre deux modes, marche à pied mise à part.

C’est la raison d’être des parcs-relais (P+R) par exemple qui ont vocation à accueillir des voitures ou vélos, de préférence au terminus d’une ligne forte, afin de poursuivre son trajet en TCL. Il existe 24 P+R TCL sur la Métropole, dont ceux de Porte de Lyon (164 places auto, une centaine de places vélo) et Hôpitaux Sud (877 places auto, 490 places vélo), nouvellement ouverts depuis 2020. Une liste à laquelle s’ajoutent les P+R TER, particulièrement importants. D’autres P+R pourront voir le jour à l’avenir, notamment en lien avec les gares SNCF ou avec de nouvelles lignes fortes TCL.

L’idée est en effet d’avoir un maillage décentralisé des P+R, positionnés sur des lignes fortes (train, métro, tramway ou BHNS), pour que chacun puisse rejoindre le parc-relais au plus proche de chez soi. Si on se retrouve déjà en proximité immédiate du centre-ville, il est peu probable qu’on ait envie de s’arrêter juste avant. Par ailleurs, il faut savoir qu’un grand parc-relais coûte extrêmement cher et sa taille impacte incontestablement les espaces publics et voiries alentours. En décentralisant leur existence, on offre des solutions efficaces pour tous les acteurs.

L’idée est aussi d’optimiser les parcs-relais existants, enfin surtout leurs usages. Le nouveau P+R de Saint Genis Laval réserve un niveau entier pour les covoitureurs et plusieurs niveaux pour des personnes ayant attestées habiter à plus de 2 km. L’objectif ? Faire croitre la densité d’usage et cibler la solution P+R pour les personnes plus éloignées, sans solution en transport collectif.

La question de l’intermodalité se pose aussi de manière plus générale pour la marche et le vélo. Quelles sont les conditions d’accès et d’attente lorsque je me rends à pied à un arrêt de bus, tram ou métro ? Les trottoirs et traversées de carrefour sont-ils confortables et sécurisés ? Mon parcours est-il ombragé et maillé d’assises pour des pauses régulières pour des personnes à mobilité réduite ? Aussi, le stationnement vélo est-il suffisant, a fortiori sécurisé, autour de l’arrêt ? Ce sont aussi ces questions d’intermodalité TCL-marche-vélo que nous traitons dans la transformation des espaces publics.

Préparer l’avenir

Ces nombreux paragraphes retracent l’ambition portée par l’écologie aux manettes concernant les transports en commun. Naturellement, l’histoire ne s’arrête pas là.

D’abord, car les métros lyonnais méritent une cure pour rester efficaces et même améliorer leurs services. Pour cela, d’ici 2035, 1,5 milliards d’euros seront investis après 2026 et d’ici 2035 pour rénover les métros lyonnais. C’est un effort considérable, mais absolument nécessaire pour améliorer leur performance, et surtout, les maintenir en vie.

Ensuite, car de nouveaux projets sont déjà sur les rails, comme le projet de métro hybride appelé TEOL (Tramway Express de l’Ouest Lyonnais). Ce projet est appelé tramway car sa configuration technique sera plus proche d’un tramway lyonnais. En réalité, il s’agit tout autant d’un projet métro avec une vitesse significative, une distance inter-station importante et deux nouvelles stations souterraines à horizon 2032 au Point du Jour et à Charcot-St Luc. TEOL sera dans tous les cas une solution efficace pour l’ouest lyonnais!

On peut d’ores et déjà imaginer de nouveaux projets de lignes fortes, comme une transformation du C6 en BHNS ou tramway (dit ligne centre-ouest), une connexion entre T9 et T10 (dit axe A8), d’autres BHNS ou tramways, ou autres transports par câble, si ce mode venait à se démocratiser en milieu urbain en Europe.

Le grand enjeu pour l’avenir, c’est toutefois le train ! En l’occurrence un projet de « RER à la lyonnaise » pour mailler l’ensemble de l’aire urbaine lyonnaise avec des TER aux cadences élevées (15 min en heure de pointe), avec une forte amplitude horaire, avec des petits P+R associés aux gares et avec une tarification unifiée TCL/TER sur le périmètre du réseau SYTRAL.

Nous avons des gares, nous avons une excellente infrastructure ferroviaire, le « RER à la lyonnaise » est un projet absolument essentiel pour améliorer la mobilité vers et depuis Lyon à une échelle régionale. On parle ici des axes Saint-Etienne, Bourg-en-Bresse, Bourgoin-Jallieu, Vienne-Valence ou encore du tram-train de l’ouest lyonnais.

S’il est nécessaire d’avoir une réelle politique d’aménagement du territoire, repensant la métropolisation à l’œuvre, avec une attention particulière pour les moyennes et petites villes françaises, en lien avec leurs gares, Lyon reste un pôle d’attraction majeur et ce projet peut permettre de répondre aux besoins de mobilité plus généraux.

Conclusion

Créer de nouvelles lignes, améliorer l’existant, investir dans le métro, ajuster les tarifications, penser l’intermodalité et préparer l’avenir, voilà un plan d’action riche en améliorations à venir pour l’ensemble des usagers en transports en commun.

Nous avons une obligation de réussir la transition des mobilités pour préserver notre santé humaine, le vivant et le climat. C’est pour cela que ces investissements colossaux sont nécessaires !

C’est pour cela aussi qu’il faut dézoomer, en particulier pour intégrer les trains du quotidien dans ces réflexions, ainsi que les lignes de bus du département du Rhône ou des autres territoires limitrophes. C’est aussi et surtout par ces lignes que passera l’amélioration globale de la mobilité dans toute la région lyonnaise.

Bref, continuons à développer l’offre pour toutes et tous avec audace et ambition !


Références:
Une fois n’est pas coutume, par souci de facilité pour se référer aux informations plus complètes sur les projets, les liens web sont directement intégrés dans le texte.